samedi, mars 16, 2019
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Alibaba a investi 135 millions d’euros dans la IESF

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Sommes nous au même niveau que le club de foot phocéen? Avec le nouveau propriétaire de l’OM qui investit 200 millions d’euros pour le club et le géant Chinois qui va investir 135 millions dans la fédération internationale de sport électronique, le parallèle est vite fait : l’eSport va-t-il devenir une fric machine façon championnat de foot ?

Soutient total pour les WESG

alisports-logoAlisport, ce nom ne vous dit peut-être rien mais cette entité est derrière la création de la maintenant incontournable World electronic sport games. Pas étonnant donc que cette compétition ait le soutien total de l’IESF. On espère que l’association de ces deux géants respectera ses promesses. Entre autre faire participer amateurs et professionnels, quand on sait que les WESG ont été doté d’un budget de 5 millions d’euros ça laisse rêveur.

La reconnaissance de l’eSport à grands coup de millions

L’IESF compte aux alentours de 50 fédérations nationales d’eSport (la France n’en fait pas partie car nous n’en avons tout simplement pas :/) et s’attèle notamment à faire reconnaitre l’eSport comme une discipline olympique.

Vous vous en doutez sûrement si un pays comme la Chine investit des millions dans l’eSport c’est qu’il y a des gros sous à se faire, et ils ne seront pas pour vous…

Le président d’Alisport a d’ailleurs déclaré :

« Je crois que le marché du sport électronique a été très volatil, avec des pics de croissance et des effondrements, mais aujourd’hui il est parvenu à se maintenir et à stabiliser sa croissance. »

iesf-logo-alisport

Notre avis

Comme d’habitude la rédaction est partagée, même tiraillée entre le sentiment d’espoir que génèrent de telles associations et l’appréhension de voir notre passion devenir une sorte de ligue 1 donnant la nausée. Quand on sait ce que la Chine est capable de faire pour gagner et l’opacité dont fait preuve le pseudo gouvernement de ce pays on est en droit d’émettre des doutes quant à ses réelles intentions. Mais comme on le dit souvent au coin d’une des innombrables ruelles Tokyoïtes : « Le malheur peut être un pas vers le bonheur. »

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