Avec l’ouverture du Blizzard eStadium à Taipei à Taïwan par, vous l’aurez deviné, l’éditeur Blizzard : la décentralisation de l’eSport continue de plus belle. Le Blizzard eStadium pourra accueillir jusqu’à 250 personnes, il a déjà été comparé à la Gfinity Arena de Londres, un compliment.
L’Overwatch Pacific pour l’inauguration
Le 8 avril tous les fans et joueurs vont pouvoir se rendre à l’eStadium, au sein duquel aura lieu l’Overwatch Pacific Championship. La ligue est prévue pour durer 11 semaines, elle sera composée de huit équipes provenant de Taiwan, du Japon, d’Australie et de Thaïlande. Un évènement que l’on suivra bien évidemment chez Parisesport.
Taipei un futur QG pour Overwatch ?
Overwatch ? Ce n’est pas tout puisque prochainement l’eStadium accueillera aussi des compétitions de Starcraft 2 et d’Hearthstone ! Attention, le but premier de cette infrastructure est de créer une sorte de QG pour l’Overwatch League et ce en réponse au développement exponentiel de la ligue autour du monde.
Que du + pour l’eSport
L’ouverture de lieux entièrement dédiés à l’eSport – comme celui-ci – aide au développement des compétitions électroniques et leur fait gagner en légitimité au-delà de l’audience habituelle pour toucher un plus large public. De plus ces projets vont permettre à l’eSport d’atteindre les objectifs et les attentes qu’il génère, attentes qui explosent auprès d’un public toujours plus large.
Vers une démocratisation de l’eSport
D’autres complexes dédiés à l’eSport ont vu le jour dans le monde entier dernièrement : la Gfinity Arena, l’ESL studio de Burbank ainsi que des solutions mobiles comme Big Betty et l’eSports Arena Drive. En plus de ces quelques structures utilisées pour l’eSport il existe de multiples lieux au sein desquels les compétitions se déroulent mais c’est rarement le but premier de ces endroits. Une question se pose donc : à quand la construction de stades ou lieux dans chaque ville ? La plupart des villes ont bien un stade de foot…
Du côté de chez Parisesport on espère que ce phénomène va se développer et ainsi propulser les compétitions électroniques (encore plus qu’elles ne le sont déjà) sur le devant de la scène, pour le meilleur et on espère pour le « moins » pire.
